2021 débute comme a fini 2020, avec des attaques contres les acquis sociaux, les libeertés fondamentales et des pans utiles à l’économie.
Le gouvernement poursuit sa politique de destruction de l’offre de santé publique : 800 millions d’euros de moins pour l’hôpital, fermeture de lits, notamment en gériatrie, et... pas un lit de réanimation en plus, alors que chaque hiver, l’hôpital connaît une dangereuse saturation.
Serait-ce une politique « d’incapables » ou un choix politique ?
Un virus, justifie-t-il les reculs sociaux, les privations de libertés, l’explosion du chômage et de l’exploitation, la casse du financement de la Sécurité Sociale et des droits et garanties collectifs des salariés ?
Le confinement, le couvre-feu, la peur d’autrui distillée chaque jour ne sont-ils pas à l’origine des abandons et retards de soins ?
Macron et ceux qu’il sert prennent-ils réellement soin de notre santé ou se servent-ils d’un virus pour finir de détruire les services publics et des emplois par millions ?
Le virus sert de prétexte à dégrader nos conditions de travail : fermeture des vestiaires, des coins repas et généralisation de la précarité.
Le virus a bon dos ! Tous les mauvais coups à venir contre les travailleurs vont se faire au nom du virus, inadmissible !
Je souhaite une belle année aux Martinérois et les appelle à la résistance !
Le PCF vient d’avoir 100 ans, jamais les salariés n’ont eu autant besoin de ce parti !