Les communistes et les jeunes communistes de SMH vous proposent une journée en famille, chaleureuse dans un cadre agréable, (avec possibilité de repli dans la salle Fernand Texier si la journée était humide).
Venez à notre Fête Populaire des Résistances !
Bulletin de pré-inscription pour la paella
À retourner à l’adresse ci-dessous
Nom et Prénom ….................................................................... Adresse…...............................................................................................
Je réserve ……………………………….. part(s) de paella x 9 euros =
Je réserve …… repas paella + desserts + un verre de vin x 13 euros =
J’adresse un chèque d’un montant de ………………… euros.
Courriel…......................................................Téléphone...........................
Section locale du PCF, BP 283, 38407 St-Martin-d’Hères Cedex, pcf.smh@wanadoo.fr - téléphone : 0960489741
Ecole, hôpital, finances, territoriale etc. : Les luttes pour défendre les services publics, largement soutenues par la population, peuvent faire dérailler la politique antisociale de Macron
A l’Elysée, le jour de la conférence de presse, il ne fallait pas compter sur les journalistes de complaisance pour interroger le président sur les plus grandes luttes sociales du moment, celles pour l’Ecole, pour l’hôpital public, contre le démantèlement des Finances publiques, pour les services publics territoriaux, pour la fonction publique en général.
Emploi public : la saignée avec ou sans chiffrage !
Macron joue le grand seigneur : pour la casse des emplois de fonctionnaire, si ce n’est pas exactement 120.000 d’ici 2022, cela peut être modulé. Mais tout le projet de loi Dussopt et les mesures actuelles tendent à casser de l’emploi à statut et le statut lui-même. Les Finances publiques font l’objet d’un démantèlement général.
L’étranglement financier des collectivités annonce des dizaines de milliers de suppressions de postes statutaires. Le projet Dussopt met au centre l’extension des recrutements de droit privé et une nouvelle précarisation – incompatible avec l’esprit service public – avec des « contrats de mission » temporaires.
Des maisons « France-services » pour mieux faire passer la désertification publique et sociale.
L’annonce de Macron de maisons de service public, au niveau des (grands) cantons, est un leurre pour accompagner la liquidation en cours et accélérée des services publics locaux : centres des finances publiques, bureaux de poste, guichets SNCF, accueils de la sécurité sociale etc.. De même, l’annonce d’un moratoire sur les fermetures d’écoles (suivant l’hémorragie des dernières années) ou d’hôpitaux ne peut faire illusion : le pouvoir va continuer à fermer des classes et des services. Avec Buzyn, le mot « hôpital de proximité » n’aura plus aucun sens, dénué, notamment, de service de chirurgie.
DES CONVERGENCES D’INTERETS AUX CONVERGENCES DE LUTTE !
Pour nous communistes, la « convergence des luttes » c’est un objectif qui ne se proclame pas mais qui se travaille, à partir des convergences d’intérêts objectives entre travailleurs de secteurs différents, usagers, populations. Le puissant mouvement contre « l’école de la confiance » peut et doit raviver l’opposition du secondaire contre la « réforme » du lycée, celles des lycéens à quelques semaines de leur réinscription ou de leur mise au rencart avec Parcoursup. Les luttes dans les services d’urgences concernent directement l’amont – la casse des centres de santé par exemple -, et l’aval – les suppressions de lits dans les autres services. Le mouvement des EHPAD ne peut être coupé de leur médicalisation, du financement de la sécurité sociale et de la lutte contre la mainmise des groupes privés, amis de Buzyn et Macron. La lutte, vitale, des agents des Finances publiques, pour le maintien de leur service, peut et doit engager les usagers et contribuables, au moment ou le « Prélèvement à la source » est en train de saper le seul impôt juste, l’impôt sur le revenu, et le financement de la sécurité sociale (via la CSG).
Les baisses d’impôts pour les plus riches, la casse du financement solidaire par la cotisation sociale de la Sécurité sociale, les subventions au profit capitaliste : c’est, dans d’autres termes, la politique de Macron que nous combattons.
Que de sujets que la campagne des Européennes n’a pas abordés, alors que la casse des services publics, leurs privatisations, les suppressions d’emplois dans ces services, casse des statuts des fonctionnaires, découlent des directives de l’UE du capital, que les gouvernements successifs appliquent volontairement et loyalement ! Non à l’application de ces directives !
De l’argent il y en a !
En 2008, après la crise financière, les capitalistes pleuraient qu’en France, notre système social, issu des luttes des travailleurs, en ait atténué l’impact – le vol – sur les salariés, retraités, jeunes. C’est bien ces conquêtes sociales que nous défendons aujourd’hui !