- nous avons édité un journal encore disponible à la section contre une participation financière.
- nous avons organisé une collecte de solidarité avec les cheminots en lutte sur la fête et nous avons pu remettre à Franck Boyer, secrétaire CGT des cheminots de Grenoble le fruit de cette solidarité de classe.
Au débat politique à 14h30 « Stoppons le Massacre de Macron », avec la CGT Cheminot, finances publiques et la FSU :
Quatre vingt dix personnes étaient au débat (sans compter les passants accrochés par les débats qui se sont arrêtés pour écouter) .
Le débat politique « Stoppons le Massacre de Macron » était riche des interventions de responsables de la CGT Cheminot, CGT des finances publiques et de la FSU.
La lutte des cheminots n’est pas corporatiste puisqu’elle condamne l’ouverture à la concurrence du rail synonyme de services publics aux rabais et plus coûteux pour les usagers.
Les agents des finances publiques luttent également pour leurs missions de services publics et pour l’abandon du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu.
Le parcours sup fait peser sur les jeunes la responsabilité de leurs échecs d’orientations et des 2 500 places en université manquantes, une goutte d’eau par rapport à l’enjeu. Ce système ouvre grand les portes à toutes les officines de bachotages payantes, une discrimination par l’argent.
Ce débat a montré, sans surprise, que les luttes sont porteuses de ruptures politiques immédiates et que le rassemblement doit se faire dans les luttes.
Nous remercions Agnès Martin (CGT Finances Publics), Franck Boyer (CGT Cheminots) et Serge Paillard (FSU) de leurs participations.