Parti Communiste Français Section de Saint-Martin d’Hères
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Pour la Paix, la justice en Palestine. Liberté aux 11 000 prisoniers politique palestiniens. Liberté pour Salah Hammouri.

septembre 2011, par Saint Martin d’Hères

Réunion publique vendredi 23 septembre 2011 à 18 h. Salle Ambroise-Croizat à Saint-Martin-d’Hères.

Les jeunes communistes vous invitent à une réunion publique pour débattre de la situation inacceptable en Palestine et du rôle historique du PCF dans les luttes anti-coloniales.

Interventions prévues :

· l’Association France-Palestine Solidarité sur le conflit israélo-palestinien,

· Le mouvement des Jeunes Communistes de France,

· Le Parti Communiste Français et les luttes anti-colonialistes.

Note sur les luttes historiques anti-colonialistes, anti-militaristes, anti- impérialistes des Jeunes Communistes de France :

La Jeunesse Communiste (JC) fêtera cette année son 91e anniversaire. L’organisation a été fondée en 1920, à la vielle du congrès de Tours fondadeur du PCF, en adhérant à la IIIe internationale communiste.

Dès 1923, la JC entre en lutte en s’opposant à l’invasion de la Ruhr (Allemagne) par le gouvernement Français de Raymond Poincaré.

En 1925, c’est la première grande lutte anti-militariste de la JC, qui ménera un combat acharné contre la guerre du Rif (province marocaine).

En 1936, la JC participe à la création des Brigades internationales. Des Milliers de Jeunes Communistes traverseront les Pyrénées pour aller combattre l’armée fasciste du dictateur espagnol Franco.

De 1936 à 1945, la JC comme le Parti Communiste, est à l’avant-garde de la Résistance contre le nazisme. L’armée allemande, avec l’aide de la police française, ménera une chasse incessante des communistes. Plus de 80 000 communistes seront fusillés, dont Danielle Casanova et Guy Moquet.

En 1956, c’est la guerre d’Algérie. La JC et le PCF seront les seules organisations politique à défendre, dès le début, le peuple algérien dans sa quête pour son indépendance.

En France, la lutte s’organise. Dans le même temps, des milliers de jeunes français seront envoyés en Algérie pour défendre les interêts des colonialistes, dont des communistes qui, à l’image d’Alban Lietchi, refuseront de prendre les armes contre peuple algérien. Pour eux, ce sera la prison.

Au début des années 80, c’est le combat contre l’apartheid, et pour la libération d’un homme, méconnu de plus de 80 % des français à l’époque : Nelson Mandela.

Années 2000, un constat s’impose : Plus les choses changent, plus elles restent les mêmes !

L’impérialisme occidental sévit toujours : Afghanistan, Irak, Lybie, Palestine... autant de raisons de continuer le combat, pour la paix, la liberté, la justice !

Texte écrit par la JC de l’union de ville de SMH.